Le dirigeant étudiant Majid Tavakkoli a été arrêté le 7 décembre après une manifestation. Amnesty International ignore où il se trouve et craint qu’il ne subisse des actes de torture ou d’autres formes de mauvais traitements. L’organisation considère cet homme comme un prisonnier d’opinion, détenu uniquement pour avoir exercé pacifiquement ses droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion.