En Iran, l’«adultère en étant marié» est obligatoirement puni de l’exécution par lapidation. Malgré l’annonce d’un moratoire sur cette méthode d’exécution en 2002, les lapidations continuent. Dans ce document, Amnesty International demande aux autorités iraniennes de respecter pleinement le moratoire, notamment en s’assurant que toutes les personnes condamnées à la lapidation ne seront pas exécutées par d’autres moyens. L’organisation demande aussi que soient dépénalisées les relations sexuelles consensuelles entre adultes, et que les avocats qui plaident dans des affaires de lapidation puissent faire leur travail sans craindre d’être persécutés.