La série de modifications législatives approuvées par le Parlement égyptien confèrera aux autorités des pouvoirs très étendus en matière d’arrestations arbitraires massives et de détention sans inculpation ni jugement pour une durée indéterminée, et sapera les garanties de procédure régulière et d’équité des procès, a déclaré Amnesty International le 19 avril 2017.