La dissolution par les autorités bahreïnites du principal mouvement politique du pays, qui intervient quelques semaines seulement après que la peine d’emprisonnement prononcée contre son dirigeant a été plus que doublée en appel, constitue clairement une attaque contre les libertés d’expression et d’association et vise à réduire au silence les opposants et les contestataires, a déclaré Amnesty International.