Le 29 octobre, un tribunal de Vinnitsa (sud-ouest de l’Ukraine) a ordonné au syndicaliste Andreï Bondarenko de se soumettre à un examen psychiatrique forcé. Depuis, cet homme se tient caché et craint d’être soumis à un traitement psychiatrique en raison de ses activités syndicales et de défense des droits humains, pourtant légitimes.