Les membres du Groupe mobile conjoint (JMG) ont été menacés à plusieurs reprises par les autorités tchétchènes et ont fait l’objet de violences qui s’intensifient. Ils poursuivent leur travail dans la région du Caucase du Nord, en Russie, mais du fait de l’impunité des auteurs des violences, ils risquent de subir de nouvelles attaques et leurs vies sont en danger.