Amnesty International salue le fait que la Suisse ait accepté de mettre en place une instance de coordination nationale entre la confédération, les cantons et la société civile pour la mise en œuvre des recommandations de l’EPU et des autres mécanismes onusiens. Si la Suisse a accepté plusieurs recommandations peu contraignantes pour introduire des mécanismes permettant de vérifier la compatibilité des initiatives populaires et du droit international elle a rejeté tout engagement contraignant en la matière ce qu’Amnesty International regrette.