Depuis le 14 juillet, 50 personnes en quête de sécurité, dont 12 enfants, trois femmes enceintes et une femme de 70 ans diabétique, sont bloqués sur une petite île du fleuve Évros, où elles vivent dans des conditions dangereuses et très difficiles. Ces personnes, qui sont des réfugié·e·s syriens et palestiniens, n’ont pas de nourriture ni d’eau potable et elles ont signalé que deux des enfants sont malades et que la femme diabétique a besoin de soins médicaux urgents. Malgré les mesures provisoires décidées par la Cour européenne des droits de l’homme la semaine dernière, ces personnes n’ont toujours pas été secourues.