Amnesty International exprime sa préoccupation à l’égard de nouvelles lois accordant des pouvoirs de surveillance étendus aux services de renseignement nationaux, de lacunes dans la loi de 2010 qui entravent l’applicabilité de la compétence universelle dans les tribunaux français, et de failles juridiques qui risquent de faciliter les transferts illégaux d’armes.