Le 17 janvier 2024, un tribunal d’Andorre a relaxé la défenseure des droits humains Vanessa Mendoza Cortés. Elle a été poursuivie injustement au pénal pour diffamation parce qu’elle s’était exprimée sur les droits fondamentaux des femmes et sur l’interdiction totale de l’avortement en Andorre devant un organisme expert de l’ONU en 2019.
Index: EUR 12/7699/2024