Au terme de l’enquête préliminaire relative à la plainte pour sédition déposée contre 36 personnes, parmi lesquelles la vice-présidente des Philippines, Amnesty International demande aux autorités de ce pays de renoncer aux investigations motivées par des considérations politiques visant des figures de l’opposition politique, des avocat·e·s spécialisés dans la défense des droits humains et des membres du clergé.