L’ordre d’exécution concernant Khizar Hayat a été suspendu le 25 juillet mais risque toujours d’être appliqué incessamment. Des troubles mentaux ont été diagnostiqués en 2008 chez cet homme, qui suit un traitement depuis. Or le droit international énonce clairement que la peine capitale ne peut pas être infligée à des personnes présentant une déficience intellectuelle ou un handicap mental.