Ahmed Mahloof doit répondre d’accusations de « terrorisme » et d’« entrave à l’action de la police » pour avoir pris part à des manifestations pacifiques – ainsi que d’accusations de « fausses informations » pour deux tweets concernant la police. S’il est déclaré coupable de ces charges forgées de toutes pièces et motivées par des considérations politiques, cet homme politique maldivien encourt jusqu’à 20 ans de prison.