Amnesty International est particulièrement préoccupée par l’utilisation persistante de la peine de mort au Japon, et notamment par les deux exécutions les plus récentes, qui ont eu lieu le 19 décembre 2017. Ces actes enfreignent le droit à la vie et le droit de ne pas subir d’actes de torture. L’organisation est profondément déçue que le Japon ait rejeté les recommandations sur la peine de mort ; ceci montre en effet le manque de volonté des autorités à instaurer un dialogue sur cet important problème de droits humains.