Amnesty International constate avec inquiétude qu’au Japon, 198 personnes migrantes en situation irrégulière ou demandeuses d’asile ont participé à une grève de la faim au cours des quatre derniers mois pour protester d’une part contre leur détention prolongée et sans durée déterminée, et d’autre part contre les conditions de vie dans les centres pour migrants. Au 25 septembre, 36 d’entre elles poursuivaient leur grève de la faim.
Index: ASA 22/1149/2019