Des personnes que les forces de police de l’Aceh-Nord pensent être des femmes transgenres ont été arrêtées arbitrairement, humiliées et torturées le 27 janvier. Même si elles ont été libérées sans inculpation le lendemain, ces personnes restent profondément traumatisées ; certaines ont perdu leur travail et d’autres ont été obligées de fuir car elles craignaient pour leur sécurité.