Amnesty International se joint à la Confédération syndicale internationale (CSI) et à dix syndicats nationaux (notamment australien, britannique, indonésien, japonais, néozélandais et sud-coréen) pour demander à l’Organisation internationale du travail (OIT) d’instaurer immédiatement une commission d’enquête chargée de se pencher sur le non-respect flagrant et persistant, par le gouvernement fidjien, des droits fondamentaux des travailleurs inscrits dans la Convention no 87 de l’OIT sur la liberté syndicale et la protection du droit syndical.
Index: ASA 18/002/2013