Neuf dirigeants des manifestations de 2014 en faveur de la démocratie à Hong Kong sont inculpés de trois infractions formulées de façon vague et ambiguë. Chacun d’eux encourt une peine maximale de sept ans d’emprisonnement. Le fait que des poursuites continuent à être engagées contre des figures de premier plan du « mouvement des parapluies » a un effet dissuasif quant à l’exercice de la liberté d’expression et de réunion pacifique.