Nay Zar Tun, Khin Cho Naing et Myint Zaw ont bénéficié d’une libération anticipée à la suite d’une remise de peine. Ces trois personnes avaient été condamnées à des peines comprises entre 12 et 18 mois de prison pour avoir protesté pacifiquement contre les accusations portées contre le frère de Nay Zar Tun, l’ancien enfant soldat Aung Ko Htwe. Détenues uniquement pour avoir exercé pacifiquement leur droit fondamental à la liberté d’expression, elles n’auraient jamais dû être emprisonnées.