Amnesty International est consternée que les autorités bangladaises se montrent si réticentes à rendre justice à la famille de Kalpana Chakma et à amener les responsables présumés à rendre des comptes pour sa disparition forcée. Kalpana Chakma, défenseure des droits des autochtones, a été enlevée chez elle à Rangamati, dans les Chittagong Hill Tracts, le 12 juin 1996, et n’a pas reparu depuis lors.