Les communications privées de deux défenseurs des droits humains seraient suivies par les autorités vénézuéliennes. Celles-ci tentent, semble-t-il, de restreindre ainsi la capacité de ces personnes de mener librement leurs activités en faveur des droits humains. Les deux hommes concernés, leurs collègues et les personnes qu’ils représentent sont peut-être en danger.