D’après les informations recueillies, cinq détenus mineurs, Jorge Herebia, Rafael Pereira, Oscar Acuna, Jimmy Orlando, Dos Santos, Diego Acosta, ont été battus par des gardiens de prison après avoir déclaré à une délégation de la section des États-Unis d’Amnesty International (AIUSA) qu’ils avaient été torturés. Quatre d’entre eux ont été transférés dans des établissements pénitentiaires pour adultes, tandis que le cinquième a été placé dans une cellule d’isolement.