Francisca Ramírez, coordinatrice du Conseil national pour la défense de notre terre, de notre lac et de notre souveraineté, a signalé que la police nicaraguayenne avait abîmé et saisi un pick-up et un autre véhicule qu’elle utilise pour son travail sans la prévenir. Cette mesure pourrait constituer un acte de représailles faisant suite à son militantisme en faveur des droits humains. Toute autre manœuvre de harcèlement risquerait de menacer son intégrité physique.