Le 11 février, le Congrès guatémaltèque a promulgué le Décret 4-2020 (anciennement appelé Loi n° 5257). Ce texte impose des restrictions abusives, des contrôles et des sanctions aux organisations non gouvernementales (ONG). Cela constitue un risque majeur pour le droit à la liberté d’expression et d’association dans le pays et menace le travail des défenseur·e·s des droits humains et des ONG. Nous appelons le Président à mettre immédiatement son veto à cette loi.