Depuis la signature de l’accord de paix en novembre 2016, on constate une hausse des menaces et des homicides visant les militants des droits humains en Colombie, y compris les personnes assumant des responsabilités au sein de la société. Les mesures limitées prises par l’État colombien n’ont pas permis d’atténuer les risques auxquels sont confrontés ceux qui défendent les droits des victimes du conflit armé interne, les droits liés à la terre et les droits collectifs.
Index: AMR 23/8190/2018