Trois hommes détenus arbitrairement à la prison située au siège du Service national de la sûreté (NSS), à Djouba, sont mortes en février et mars du fait de conditions carcérales déplorables et faute de soins médicaux adéquats. C’est pourquoi Amnesty International craint pour la sécurité d’au moins 23 autres hommes se trouvant dans la même prison.