Un tribunal de République démocratique du Congo (RDC) a reconnu Grâce Tshiunza, Mino Bopomi, Cedric Kalonji et Carbone Beni coupables d’« insulte au président », de « publication d’écrits subversifs » et de « désobéissance civile » le 24 septembre. Ce même tribunal a acquitté Palmer Kabeya. Amnesty International pense que la décision prononcée par le tribunal à l’encontre de ces quatre militants des droits humains est infondée et érige en infraction des activités légales et pacifique de militants des droits humains.