Entre janvier 2015 et décembre 2018, les forces de sécurité congolaises ont brutalement et systématiquement réprimé les manifestants qui s’opposaient aux tentatives du président Joseph Kabila de se maintenir au pouvoir au-delà de son deuxième mandat constitutionnel . Fin décembre 2018, on dénombrait au moins 320 morts et 3 500 blessées