Ce rapport présente les conclusions des recherches menées par Amnesty International concernant les victimes, tuées ou blessées, lors des manifestations qui ont eu lieu au Burkina Faso entre le 30 octobre et le 2 novembre 2014. Ces événements se sont inscrits dans un climat de mécontentement populaire à l’encontre de l’ancien président Blaise Compaoré qui tentait de modifier la constitution pour prolonger son mandat présidentiel. Lors des manifestations, la gendarmerie (police militaire), l’armée nationale et la police ont été déployés.
Index: AFR 60/001/2015