Ouganda. Le gouvernement doit modifier sans délai la loi sur l’interception des communications pour réduire le risque d’atteintes aux droits humains

Mardi 14 décembre, Amnesty International a déclaré que la Loi de réglementation de l’interception des communications (Loi RIC) de 2010 ne comportait pas les garanties nécessaires pour assurer le respect et la protection des droits humains, menaçant en particulier la liberté d’expression et le droit à la vie privée. Adoptée en juillet, cette loi est entrée en vigueur le 3 septembre 2010.

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