En Ouganda, la violence contre les femmes et les fillettes reste monnaie courante dans presque tout le pays. Selon les estimations, les deux tiers des foyers ougandais ont déjà été le théâtre de violences familiales. Le chemin des victimes vers la justice est pavé d’embûches. Les femmes se heurtent notamment à des réactions inappropriées ou dédaigneuses de la part des policiers et du personnel médical et judiciaire. Dans le présent document, Amnesty International appelle les autorités ougandaises à améliorer leurs efforts de protection du droit des femmes à une vie sans violence.
Index: AFR 59/002/2010