Quatre militants politiques arrêtés en mars 2010, au moment de l’élection présidentielle togolaise, ont été libérés sous caution. Ils n’ont pas subi de mauvais traitements pendant les six mois qu’ils ont passés en détention. Choisir une langue pour afficher le rapportTélécharger le PDFEnglishEnglish French Spanish Télécharger le PDF