À la suite de l’ouverture du procès de l’ancienne candidate à la présidence Diane Rwigara et de sa mère Adeline Rwigara à Kigali mardi 22 mai, Amnesty International appelle les autorités rwandaises à veiller à ce que leur droit à un procès équitable soit pleinement garanti et qu’elles ne soient pas condamnées pour avoir exercé légitimement leur droit à la liberté d’expression.