Le 22 juillet, Job Sikhala, ancien membre du Parlement, a été relaxé par la Haute Cour du Zimbabwe des chefs de « publication ou communication de fausses déclarations portant préjudice à l’État » et d’« incitation à la violence ». Il a passé 595 jours en détention provisoire et a été libéré le 30 janvier 2024, après avoir été condamné à deux ans de prison avec sursis pour « incitation à la violence ».
Index Number: AFR 46/8374/2024