Dans le présent rapport, Amnesty International évalue la mise en œuvre des recommandations adressées à la Guinée équatoriale lors de son dernier Examen périodique universel, en particulier de celles concernant la situation des défenseur·e·s des droits humains. Le rapport étudie également la législation encadrant les activités des organisations non gouvernementales et son incidence sur la liberté d’association. Enfin, il décrit un certain nombre de cas de défenseurs des droits humains et de militants qui ont été victimes de harcèlement, d’intimidation ou de détention arbitraire.