Djibouti: Personne susceptible d’être considérée comme prisonnier d’opinion : Aref Mohamed Aref

L’avocat et défenseur des droits fondamentaux Aref Mohamed Aref, que les autorités ont empêché de se rendre à Paris pour les États généraux des Défenseurs des droits humains en décembre 1998, a été cité à comparaître devant les tribunaux, à Djibouti le 15 février 1999. Il est inculpé d’escroquerie, infraction passible d’emprisonnement. Amnesty International pense que cette inculpation revêt un caractère politique et considérera Aref Mohamed Aref comme un prisonnier d’opinion s’il est incarcéré.

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