Dans cette communication, Amnesty International fait observer que le Tchad n’a pas mis en œuvre les recommandations acceptées lors de son précédent EPU. L’organisation exprime également son inquiétude au sujet des mutations dont font l’objet contre leur gré certains juges, du projet de loi sur les médias et du mandat de la Commission nationale des droits de l’homme. En ce qui concerne la situation actuelle des droits humains, Amnesty International fait part de sa préoccupation quant aux disparitions forcées, aux violences contre les femmes et les enfants, aux enfants soldats, aux conditions d’emprisonnement inacceptables, aux décès en détention, à la torture et aux mauvais traitements, aux arrestations et détentions arbitraires, aux agressions contre les défenseurs des droits humains, aux menaces visant des journalistes et des opposants et aux expulsions forcées.
Tchad. Il est temps de mettre les pratiques en accord avec les discours. Communication d’Amnesty International en vue de l’Examen périodique universel d’octobre-novembre 2013
Sujets
- Bidonvilles et droit au logement
- Censure et liberté d’expression
- Conflit armé
- Détention
- Détention illégale
- Disparitions forcées
- Enfants
- Enfants soldats
- Homicides et disparitions
- Homicides illégaux
- Impunité
- Institutions pénales
- Justice
- Militants et défenseurs des droits humains
- ONU
- Organisations internationales
- Pauvreté
- Personnes déplacées à l'intérieur de leur pays
- Procès iniques
- Rapport
- Recherches
- Tchad
- Torture et autres formes de mauvais traitements