Emmanuel Nshimirimana, Aimé Constant Gatore et Marius Nizigiyimana sont jugés pour « atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat » et faux et usage de faux. Le jugement doit être rendu le 26 février. Ils sont membres de l’organisation non gouvernementale burundaise Paroles et action pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités (PARCEM). Amnesty International les considère comme des prisonniers d’opinion.