Le 19 mai, la Cour suprême angolaise a relaxé le défenseur des droits humains José Marcos Mavungo, qui a été libéré le lendemain. Il se trouve désormais parmi les siens. L’avocat spécialiste des droits humains Arão Bula Tempo, en revanche, encourra entre cinq et 12 ans d’emprisonnement si son procès a lieu.