La décision du gouvernement malaisien de donner aux juges le pouvoir discrétionnaire de fixer les peines dans les affaires de trafic de stupéfiants est un pas dans la bonne direction, a déclaré Amnesty International le 3 avril 2017. Toutefois, bien que cette décision puisse se traduire par une diminution significative du recours à la peine mort, les autorités malaisiennes ne doivent pas limiter la réforme aux infractions liées au trafic de stupéfiants ou à l’application automatique de la peine de mort.