Maroc. Les autorités doivent respecter la liberté de réunion

Amnesty International a condamné le 24 février la dispersion violente de manifestants pacifiques par les forces de sécurité marocaines à Rabat, la capitale du pays, les 21 et 22 février 2011. L’organisation appelle les autorités marocaines à enquêter sur les faits qui ont conduit à l’hospitalisation de nombreux manifestants.

Choisir une langue pour afficher le rapport

Télécharger le PDF