À l’occasion du deuxième anniversaire du déclenchement, en février 2019, du mouvement de contestation pacifique Hirak, qui demande des changements politiques radicaux en Algérie, Amnesty International appelle les autorités algériennes à libérer immédiatement tou·te·s les manifestant·e·s pacifiques, journalistes et militant·e·s arbitrairement placé·e·s en détention, à abandonner toutes les poursuites judiciaires engagées contre eux/elles et à faire en sorte qu’ils/elles puissent avoir accès à un recours effectif.