Algérie : Action complémentaire : Arrestations / poursuites judiciaires / intimidation policière / craintes pour la sécurité / craintes de nouvelles arrestations des proches de personnes « disparues »

Fatima Ime, qui était maintenue en garde à vue, a été libérée le 24 mars 2000 et autorisée à rentrer chez elle. Le 25 mars, Fatima Ben Mousa, Rahmouna Bourahla, Faouzia Guene et Badra Leban ont été inculpées de participation à un rassemblement interdit sur la voie publique et libérées sous caution dans l’attente de leur procès, dont la date a été fixée au 21 mai. Les autorités les ont averties qu’elles seraient emprisonnées, si elles participaient à de nouvelles manifestations, menace qui a apparemment été proférée à l’encontre d’autres proches de « disparus ».

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