Libye. Il faut mettre en œuvre les appels de l’ONU en faveur de réformes. Le gouvernement rejette des changements indispensables lors du premier examen du Conseil des droits de l’homme

Le rejet par la Libye des propositions du Conseil des droits de l’homme des Nations unies jette de sérieux doutes sur la volonté proclamée par le gouvernement d’adopter des réformes, ont déclaré conjointement Amnesty International et Human Rights Watch. Au cours de son premier examen devant le Conseil des droits de l’homme, le 9 novembre 2010, la Libye a accepté les recommandations générales concernant la protection et la promotion des droits humains, mais a rejeté celles qui portaient sur des violations précises de ces droits et les mesures concrètes visant à y remédier.

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