Le défenseur des droits humains Abdulhakim al Fadhli, membre de la communauté apatride des bidun, s’est vu accorder un sursis pour sa peine de prison d’un an le 14 juin. Le tribunal réexaminera son dossier le 22 septembre pour rendre son verdict. Il demeure derrière les barreaux pour purger une peine distincte de trois mois de prison. Il a été frappé par des policiers lors de son transfert du tribunal à la prison centrale de Koweït.