Nous nous joignons à vous aujourd’hui pour demander la libération immédiate et inconditionnelle de Musallam al Barrak, à l’occasion du troisième anniversaire de sa condamnation par la Cour d’assises. Amnesty International le considère comme un prisonnier d’opinion, emprisonné uniquement pour avoir exercé pacifiquement son droit à la liberté d’expression.