Depuis que le gouvernement jordanien a fermé sa frontière avec la Syrie le 21 juin, quelque 80 000 réfugiés sont bloqués dans une zone désertique connue sous le nom de « berme », où la chaleur est étouffante et les tempêtes de sable fréquentes. Ils ne reçoivent toujours pas l’aide essentielle et indispensable à leur survie.