Plusieurs milliers de demandeurs d’asile érythréens et soudanais risquent d’être contraints à retourner au Rwanda ou en Ouganda, où leur sécurité n’est pas garantie, ou incarcérés pour une durée indéterminée en Israël. Certains d’entre eux sont déjà en détention, mais les autorités israéliennes ont dit aux autres qu’ils devaient quitter le pays avant le mois d’avril sous peine d’être incarcérés.