Au moins 11 femmes de la minorité religieuse des derviches de la confrérie Gonabadi sont maintenues en détention de façon arbitraire, sans accès à leur avocat, et soumises à des conditions inhumaines depuis le 20 février. Elles ont été arrêtées lors de la violente dispersion d’une manifestation de derviches Gonabadi à Téhéran. Certaines d’entre elles ont besoin d’urgence de soins médicaux pour les blessures qu’elles ont subies quand elles ont été frappées lors de leur arrestation.