Le syndicaliste iranien Jafar Azimzadeh, président du Syndicat libre des travailleurs d’Iran, a mis un terme à une grève de la faim de deux mois le 30 juin, après avoir obtenu une permission. Toutefois, il risque d’être renvoyé en prison. Si tel est le cas, Amnesty International le considèrera comme un prisonnier d’opinion.